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Zoé*, 16 ans, de Lausanne, depuis 7 mois à La Fontanelle

Je pense que le fait de ne pas avoir droit à notre téléphone favorise les relations humaines. On crée de vraies relations sociales.

On fait énormément d’activités en groupe, et selon le comportement de certaines personnes, toute la dynamique peut être ralentie. Cette vie en communauté, cette collectivité, ne veut pas dire que l’on s’oublie soi-même.

Ce que l’on fait, on le fait ensemble mais on apprend aussi à « être » par rapport à nous. Je suis contente que, malgré la vie en foyer, on puisse aussi se ménager des moments pour nous. Selon moi, vivre en communauté nous apprend à nous adapter, à respecter certaines règles, ce qui est bénéfique pour le milieu professionnel. Je pense que c’est un réel plus pour la vie.